La piétonne se demande :
qu'est ce que c'est que ça ?
Est-ce une tranchée qui vient d’être rebouchée ou un passage qui est censé servir à la piétonne ? N'étant pas idiote, la piétonne pense qu'il s'agit bien là de passages pour les piétons.
Ceci dit, la bipède se demande si en cas d'accident (ce qu'elle ne souhaite pas), ces passages ont une valeur sûre (en matière juridique mais également au niveau de la sécurité routière).
Rappel : Passage piéton : La piétonne rappelle que le seul marquage imposé consiste en des bandes rectangulaires blanches parallèles à l´axe de la chaussée (d´une longueur minimale de 2,50 mètres en ville et d´une longueur de 4 à 6 mètres en rase campagne ou dans les traverses de petites agglomérations. La largeur de ces bandes est de 0,50 mètre et leur interdistance de 0,50 mètre à 0,80 mètre).
Ces marques sur chaussée peuvent éventuellement être complétées par une signalisation verticale ou autre (panneaux, constraste visuel ...).
Les passages pour piétons sont dotés d’un marquage réglementaire conformément à l’arrêté du 16 février 1988 modifié susvisé, et notamment aux dispositions de l’article 113 de l’instruction interministérielle sur la signalisation routière, septième partie (Marques sur chaussées).